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Le travail de SLA Canada s’appuie sur la communauté. Découvrez comment, en 2023, nos efforts pour soutenir la communauté de la SLA ont permis aux personnes touchées par la SLA de recevoir les meilleurs soins possibles et ont aidé leurs proches à atteindre leurs objectifs en matière d’éducation.

 

Il faut une communauté pour soutenir les personnes atteintes de SLA

Joanna, responsable communautaire de SLA Canada

Vivre avec SLA peut présenter de nombreux défis, mais avec le soutien de la communauté, les personnes atteintes de la maladie peuvent traverser leur parcours plus facilement. Les responsables communautaires de la Société canadienne de la SLA en Ontario jouent un rôle important en offrant un soutien personnalisé aux personnes ayant reçu un diagnostic de SLA et à leur entourage, lequel peut comprendre des membres de la famille et des professionnels de la santé.

« Notre soutien est adapté à chaque personne en fonction de leur progression, de leurs symptômes et des ressources et soutiens disponibles dans leur communauté », explique Kim Barry, vice-présidente des services communautaires de la Société canadienne de la SLA. « Nous n’avons pas de liste d’attente; lorsqu’une personne reçoit un diagnostic, elle est orientée vers nos responsables communautaires, qui sont spécialisés dans le soutien aux personnes vivant avec SLA. Leur rôle est de répondre aux questions, de faciliter la prise en charge des symptômes, ainsi que d’évaluer et de fournir l’équipement nécessaire aujourd’hui et demain. »

La SLA n’affecte pas seulement la personne qui en est atteinte. Souvent, le conjoint ou l’enfant assume le rôle d’aidant principal qui, à son tour, aura des questions sur la meilleure façon d’aider son proche. En plus de fournir des informations et des ressources à l’aidant, le responsable communautaire soutient souvent au moins six autres personnes au sein du réseau de soins de la personne, lesquelles ont un rôle à jouer dans la prestation d’une manière ou d’une autre.

Le parcours de la SLA devient ainsi beaucoup moins intimidant pour les personnes atteintes de la maladie, surtout quand elles peuvent compter sur quelqu’un qui est déjà passé par là. Cette approche proactive offre non seulement une aide vitale, mais aussi la possibilité de maintenir un niveau important de qualité de vie, de sécurité et d’indépendance, apportant ainsi de soulagement et confort.

« Bien qu’un diagnostic de SLA soit dévastateur, il est important de noter que la vie peut toujours être célébrée », déclare Kim. Kim raconte une expérience récente avec un client : « Le jour même du diagnostic de John, nous avons été mis en contact et avons pris rendez-vous avec lui pour répondre à ses premières questions. Au cours des semaines suivantes, le responsable communautaire a travaillé en étroite collaboration avec lui et sa femme pour déterminer les soins nécessaires selon leur calendrier. La SLA est différente pour chaque personne; chaque jour peut apporter une nouvelle complexité qui peut être gérée avec du soutien, qu’il s’agisse d’une transition vers un nouvel appareil de mobilité, d’une aide pour les formalités administratives de transport ou d’une orientation vers un professionnel de la santé dans la communauté. Le but ultime est de fournir de l’aide et du soutien pour que la famille puisse rester unie à la maison. »

 

Contribuer à un avenir meilleur : reconnaître la résilience à travers la Bourse Kevin Daly de la Société canadienne de la SLA

Personne ne comprend mieux que la communauté SLA les difficultés rencontrées lors du diagnostic de SLA d’un proche. L’impact profond de la maladie pose des obstacles pour atteindre les objectifs et les aspirations créés avant le diagnostic. La vie avec SLA est différente pour chacun, mais les traces qu’elle laisse sur chaque personne suscitent un sentiment de compassion et un désir de soutenir les autres au sein de la communauté.

Kevin Daly (au centre) avec sa famille

En 2023, la Société canadienne de la SLA, en partenariat avec les amis et les collègues de Kevin Daly (membre de la communauté SLA), s’est engagée à soutenir les jeunes qui font face à l’impact de la SLA. La Bourse Kevin Daly de la Société canadienne de la SLA a été créée en hommage à Kevin, inspirée par son courage et son dévouement à l’égard des autres familles touchées par la SLA. La bourse de 2 500 $ est attribuée chaque année à des étudiants de niveau postsecondaire de tout le Canada qui sont touchés par la maladie. « En renforçant les capacités des étudiants touchés par la SLA grâce à cette bourse, on allège non seulement leur fardeau financier, mais on transmet aussi un message important, celui d’une communauté unie et consciente des réalités auxquelles les enfants sont confrontés lorsque leur famille est touchée par la SLA », a déclaré Tammy Moore, PDG de la Société canadienne de la SLA.

La Bourse Kevin Daly de la Société canadienne de la SLA 2023 a été attribuée à trois étudiantes canadiennes  – Catherine BrassardDaniella D’Amici et Sarah Jacob – afin de leur apporter un soutien à double titre : aide financière et liens avec la communauté. « Le quotidien peut être stressant, c’est pourquoi le fait d’avoir une source de sécurité extérieure fait une énorme différence pour moi », partage Mlle D’Amici. « De même, le fait d’être en contact avec l’équipe de la Société canadienne de la SLA et de savoir que ses membres comprennent ce que je vis – cela a apporté un sens de communauté vraiment spécial. »

« Recevoir cette bourse représente une source de réconfort dans une période particulièrement difficile en allégeant un fardeau émotionnel et financier. En plus, savoir que mes difficultés sont reconnues et soutenues m’encourage à cultiver ma résilience », explique Mlle Brassard. Il est essentiel pour l’avenir de la SLA d’aider les jeunes adultes à atteindre leurs objectifs en matière d’éducation, mais aussi à faire face à la dure réalité de la SLA. La Société canadienne de la SLA et la famille Daly félicitent les lauréats de 2023 pour leur résilience et leur dévouement académique en espérant pouvoir soutenir d’autres étudiants dans les années à venir.

Double your impact this GivingTuesday

When it comes to fundraising for ALS, next Tuesday (November 28) is the single most important day of the year, and to help us celebrate the day, we have an exciting announcement. Does this sound intriguing? Keep reading….

Every year, GivingTuesday gains more momentum in Canada as charities across the country rally alongside their donor communities to fund life-changing work. It’s a day for us to come together and support the causes closest to our hearts.

To help make the day a success, The Citrine Foundation of Canada has agreed to double every GivingTuesday donation you make, up to $45,000!

Throughout the day, we will be sending email reminders, plus stories from our community members that will remind you how much your donation truly helps real families across the country. If you’re not subscribed to receive emails from ALS Canada, you can do so here. Make sure you’re signed up so you don’t miss out next week.

Separately, we’re happy to announce that you can click here for early action to the GivingTuesday donation form. Even if you give today, we will make sure your donation is doubled and added toward our GivingTuesday goal.

Together, we can make this year’s GivingTuesday our most successful one yet! Can we count on you?

La Société canadienne de la SLA est heureuse d’accueillir la Dre Chantelle F. Sephton, du Québec, et Craig Storey, de l’Île-du-Prince-Édouard, au sein de son conseil d’administration. Le conseil d’administration de la Société canadienne de la SLA est composé de bénévoles de divers horizons qui se sont réunis dans le but commun de s’assurer que la Société soit bien gérée et à ce que l’argent des donateurs soit utilisé au mieux pour servir notre objectif caritatif. 

 

Dre Chantelle F. Sephton est titulaire d’un baccalauréat en biochimie de l’Université de la Saskatchewan à Saskatoon et d’un doctorat en psychiatrie de l’Université de la Saskatchewan. Elle a terminé ses études postdoctorales au Southwestern Medical Center de l’Université du Texas (UT) à Dallas sous le mentorat du Dr Gang Yu dans le département des neurosciences. Elle a commencé son laboratoire à l’Université Laval au sein du Centre de recherche CERVO en 2014 et est actuellement professeure agrégée au département de psychiatrie et de neurosciences. 

 

Craig Storey est titulaire d’un baccalauréat en ingénierie (industrielle) de l’Université Dalhousie (anciennement Université technique de Nouvelle-Écosse), de la désignation ICD.D du programme de formation des administrateurs de l’Institute of Corporate Directors & Rotman School of Business et d’un certificat d’immersion du Cégep de Sainte-Foy, à Québec (Québec). Il a passé sa carrière à renforcer les entreprises, généralement dans le secteur des technologies. M. Sorey possède une grande expertise dans les domaines du développement commercial, des fusions et acquisitions, de la gestion des produits, des ventes, du marketing et de la gestion des canaux de distribution, des logiciels d’entreprise/SaaS, du service à la clientèle et de la gestion du changement. 

 

Nous avons demandé à nos nouveaux membres de nous parler de leur lien avec la cause et de ce qu’ils espèrent apporter à la communauté de la lutte contre la SLA en tant que membres du conseil d’administration. 

 

Dre Sephton : Je suis chercheuse scientifique et j’étudie les causes sous-jacentes de la SLA depuis plus de 15 ans. Cette mission a été à la fois gratifiante et stimulante, et je suis très encouragée par les contributions collectives de mon équipe et de mes collègues en vue d’une meilleure compréhension de la maladie. Nous devons poursuivre la recherche collective d’une meilleure compréhension de la SLA et repousser les limites pour trouver de meilleures options de traitement et un remède. Une partie de cette quête nécessite d’autres niveaux de contribution à la communauté de la SLA et à la Société canadienne de la SLA. En tant que membre du conseil d’administration de la Société canadienne de la SLA, j’espère contribuer à l’organisation et à son amélioration en défendant les intérêts de la communauté de la recherche sur la SLA. J’espère ainsi faire en sorte que la recherche sur la SLA au Canada soit florissante et continue à faire progresser notre compréhension de la maladie, ce qui conduira à de nouvelles approches thérapeutiques pour traiter et guérir la maladie. 

 

Craig : J’ai des amis très proches qui ont été touchés par la SLA, ce qui m’a amené à devenir membre du conseil d’administration de la Société canadienne de la SLA. Si je pouvais aider à éviter à d’autres personnes de vivre ce qu’elles ont vécu et continuent de vivre, ce serait une grande victoire. Par ailleurs, je crois que si chacun d’entre nous s’efforce de rendre demain meilleur qu’aujourd’hui, nous laisserons ce monde dans un meilleur état que celui dans lequel nous l’avons trouvé. Je veux également consacrer mes efforts à un domaine qui a de plus grandes répercussions. La Société canadienne de la SLA est un organisme national de bienfaisance, de service et de recherche qui coche de nombreuses cases pour moi. 

 

Le conseil entier est guidé par les défis et les complexités de vivre avec la SLA, et il adhère à une approche collaborative à l’égard de la gouvernance afin d’améliorer la vie des personnes touchées par cette maladie grâce à des programmes de soutien, à des initiatives d’intervention et à des investissements dans la recherche dans le but de créer un avenir sans SLA.  

 

Nous souhaitons la bienvenue à Chantelle et Craig et nous nous réjouissons de travailler avec eux en tant que membres de notre conseil d’administration. 

C’est avec admiration et gratitude que la Société canadienne de la SLA souligne l’incroyable contribution de la Dre Christine Vande Velde, dont le mandat de membre de son conseil d’administration est arrivé à terme.  

 

La Dre Vande Velde quitte ses fonctions de membre du conseil d’administration et de présidente du Comité consultatif scientifique et médical, après presque six ans d’activité. Professeure au Département des neurosciences de l’Université de Montréal et au Centre de recherche de l’Hôpital de Montréal (CRCHUM), la Dre Vande Velde a obtenu un doctorat en biochimie de l’Université du Manitoba et a poursuivi des études postdoctorales à l’Université de Californie, San Diego/Ludwig Institute, où elle a développé une expertise dans le domaine de la SLA. 

 

En 2007, la Dre Vande Velde a créé son laboratoire pour étudier les nouvelles voies et les nouveaux gènes dans la pathogenèse de la SLA afin de comprendre les cibles thérapeutiques et les biomarqueurs biologiquement valables. Ses travaux sont actuellement financés par les IRSC, le CRSNG, la Société canadienne de la SLA et la Fondation Brain Canada, et le département de la défense américain. Elle a fait partie de plusieurs comités d’examens de subventions, tant au niveau national qu’international. Plus récemment, elle a été nommée directrice scientifique du Robert Packard Center for ALS Research.   

 

Lorsqu’on lui demande comment elle s’est retrouvée au conseil d’administration, elle répond que c’est sa proche collègue et mentore, la Dre Heather Durham, qui l’a incitée à se lancer dans l’aventure. « Elle m’a promis que j’apprendrais beaucoup et que ce serait l’une des choses les plus gratifiantes de ma carrière, déclare la Dre Vande Velde. Elle avait raison. »  

 

« Au cours de mon mandat au conseil d’administration, j’ai appris que le travail de la Société canadienne de la SLA va bien au-delà de l’octroi de subventions pour la recherche. L’organisation fournit des services essentiels aux résidents de l’Ontario, tout en jouant un rôle national dans la sensibilisation et le partage d’informations et, ces dernières années, en influençant l’effort mondial en faveur de la SLA dans tous les domaines, y compris la recherche, les services communautaires et la sensibilisation. » 

 

Elle explique son expérience dans son ensemble : « Ce n’est pas un travail facile – j’ai travaillé. Mais honnêtement, je pense que j’en ai retiré bien plus que ce que j’ai donné. J’ai beaucoup appris sur la gouvernance, la planification stratégique, les finances, les conversations difficiles, le fait de toujours garder un œil sur l’objectif (c.-à-d. rester concentré sur la mission!) et de penser quelques coups d’avance. Je suis reconnaissante d’avoir eu l’occasion de travailler avec tant de collègues dévoués au sein du conseil d’administration et de l’équipe de la Société canadienne de la SLA. Le temps que j’ai passé au conseil d’administration a changé la façon dont je conçois la science et dont je dirige ma propre équipe. » 

 

Merci à la Dre Vande Velde pour son leadership, ses idées et son engagement pour de la cause. Elle a joué un rôle déterminant dans la poursuite de notre mission, en plaçant toujours la personne vivant avec la SLA au centre de notre travail.  

 

Nous lui disons merci pour ses nombreuses et diverses contributions, qui ont produit un changement concret et significatif pour les personnes touchées par la SLA. Nous lui souhaitons bonne chance dans ses projets à venir. 

La Société canadienne de la SLA est heureuse d’accueillir le Dr Leslie Green, Jude Groves et Kris Noakes au sein de son conseil d’administration. Composé de dirigeants bénévoles aux antécédents et aux compétences variés, notre conseil d’administration veille à ce que la Société canadienne de la SLA soit bien gérée et à ce que l’argent des donateurs soit utilisé au mieux pour servir notre objectif caritatif. 

Le Dr Leslie (Les) Green est un professeur émérite à la faculté de droit de l’Université Queen et de l’Université d’Oxford. Expert des droits de la personne, de l’éthique et de la théorie constitutionnelle ayant fait l’objet de nombreuses publications, il a siégé aux conseils d’administration pour des organismes éducatifs et culturels au Canada et au Royaume-Uni. Les est un résident de Toronto, et vit avec la SLA. Né dans un petit village de l’ouest de l’Écosse, il a décidé, il y a quelques années, de « retourner à l’école » et d’étudier le gaélique écossais, qu’il parlait dans son enfance mais qu’il a perdu plus tard. La poursuite de sa formation en tant qu’étudiant lui a donné une nouvelle perspective pour son enseignement, car il a pu s’asseoir (virtuellement) à la place des étudiants.   

Jude Groves a plusieurs années d’expérience dans le domaine de la santé et de la sécurité au sein de l’industrie des transports, où il a assumé divers rôles de direction. Il est actuellement vice-président de la sécurité, de la conformité, de la prévention des blessures et de la formation pour le Kenan Advantage Group. Jude a également fait partie d’un certain nombre de conseils, de comités et de groupes de travail, y compris la présidence du conseil de l’Alberta Motor Transport Association. Jude vit à Alberta et a deux jeunes enfants. Il aime voyager avec sa femme et explorer les sentiers battus du Canada et d’ailleurs, en capturant des moments en chemin avec ses photos.   

Kris Noakes est une citoyenne de la Nation Anishinabek et un membre de la Première nation de Nipissing. Elle défend les intérêts de la communauté aux niveaux municipal, provincial et fédéral. Son expérience diversifiée comprend la direction d’une ONG, mettant en place des services Autochtones dans la région du Grand Toronto (GTA). Kris a soutenu des initiatives communautaires pour les comités consultatifs sur la diversité et l’inclusion de la ville de Mississauga et de la ville de Brampton et a été membre du conseil consultatif communautaire (CCC) de la Stratégie des partenariats de lutte contre l’itinérance de la région de Peel, du cercle consultatif des Premières nations, des Métis et des Inuits pour le conseil scolaire du district de Peel, des responsables de l’éducation de la région de Toronto pour le Bureau de l’éducation des Autochtones du Ministère de l’Éducation et en tant que la directrice de la galerie d’art de Mississauga. 

Kris est actuellement membre du conseil d’administration et trésorière de Hamilton Community Legal Clinic et membre nommée du comité consultatif de la magistrature fédérale pour la région du Grand Toronto. Elle est également membre du comité du Cyclo-défi révolutionnaire de la Société canadienne de la SLA et membre de 100 Femme de cœur. En dehors du bénévolat, Kris passe du temps avec sa famille et ses deux chiens. La SLA a eu un impact considérable sur Kris et sa famille. Après avoir perdu les générations précédentes, ils continuent de vivre avec la maladie et l’espoir d’un avenir sans SLA pour tous. 

Nous avons demandé à nos nouveaux membres de nous parler de leur lien avec la cause et de ce qu’ils espèrent apporter à la communauté SLA en tant que membres du conseil d’administration.

Dr Green : J’ai une grande admiration pour tout le travail que fait la Société canadienne de la SLA, qu’il s’agisse de financer la recherche en sciences fondamentales ou de soutenir les aidants et les clients qui vivent- comme moi – avec la SLA. J’ai eu énormément de chance dans la vie, et je peux maintenant consacrer du temps et de l’énergie à un organisme qui mérite autant de soutien qu’il donne aux autres. Je le sais de près. Quelques semaines après mon propre diagnostic, la Société canadienne de la SLA était là pour moi, et l’est toujours.

Je suis professeur de droit de profession, spécialisé dans les droits de la personne et l’éthique. Ces questions se posent dans presque tous les aspects du travail de la Société canadienne de la SLA : de façon dont la recherche est menée, à la façon dont les médicaments sont réglementés et à la façon dont les soins de santé sont fournis. Le conseil d’administration est talentueux et diversifié; j’espère que ma propre perspective pourra compléter les ressources fantastiques auxquelles il peut déjà faire appel.

Jude : À la fin de 2021, mon père a reçu un diagnostic de SLA. C’est l’impact personnel de la SLA sur notre famille qui m’a poussé à faire du bénévolat, en me demandant ce que je pouvais faire pour soutenir un organisme qui a joué un rôle essentiel dans le soutien de notre famille au cours de ce parcours éprouvant et fatiguant.

C’est l’occasion de redonner et de mettre à profit mon expérience et ma formation pour contribuer à créer des opportunités pour améliorer la recherche, le soutien et, surtout, la qualité de vie des personnes atteintes de SLA et de leurs familles. La Société canadienne de la SLA est un groupe fondateur dans le soutien à la lutte contre cette maladie dévastatrice.

Kris : En tant que patiente et membre d’une famille qui a été dévastée par la SLA, il n’a pas été facile de naviguer dans le système de santé. Grâce à la Société canadienne de la SLA, j’ai été mise en contact avec les services et les soutiens dont j’avais besoin. Je ne pourrais être plus honoré de me joindre à cet organisme et aux personnes dévouées qui soutiennent la communauté et la recherche sur la SLA. J’espère pouvoir contribuer à la défense des droits et à la sensibilisation à cette maladie.

Le conseil entier est guidé par les défis et les complexités de vivre avec la SLA, et il adhère à une approche collaborative à l’égard de la gouvernance afin d’améliorer la vie des personnes touchées par cette maladie grâce à des programmes de soutien, à des initiatives d’intervention et à des investissements dans la recherche dans le but de créer un avenir sans SLA. 

Nous souhaitons la bienvenue à Jude, Les et Kris et nous nous réjouissons de travailler avec eux en tant que membres de notre conseil d’administration. 

Avec gratitude et appréciation, la Société canadienne de la SLA reconnaît les contributions importantes de quatre membres du conseil d’administration dont le mandat est arrivé à terme. Merci à Norma Beauchamp, Catherine Bélanger, Josette Melanson, et Jim Mitrakos pour leur direction, leurs idées et leur dévouement. 

Norma est arrivée au conseil d’administration bénévole il y a trois ans, apportant avec elle son expérience en tant qu’ancienne présidente et cheffe de la direction de Fibrose Kystique Canada. Ayant occupé des postes de direction au Canada et dans le monde entier, notamment chez Bayer Inc. et Sanofi Canada, Norma a joué un rôle essentiel dans la gouvernance et le recrutement. Lorsque nous lui avons demandé ce qui l’a poussée à se joindre au conseil d’administration, elle a répondu que c’est Tammy Moore, cheffe de la direction de la Société canadienne de la SLA, qui l’a inspirée en raison de sa nature passionnée et bienveillante. Elle est reconnaissante de l’expérience de la Société canadienne de la SLA et de l’occasion qui lui a été donnée d’en apprendre davantage sur la SLA, son impact sur les familles et la nécessité de trouver les thérapies novatrices. 

Avec une longue histoire d’engagement communautaire et de soutien à divers organismes sans but lucratif et de bienfaisance, Catherine est arrivée au conseil d’administration en 2020 après avoir été une championne de la cause de la SLA depuis 2015, lorsque son défunt mari, l’honorable Mauril Bélanger, a reçu un diagnostic de SLA peu après avoir été réélu, député d’Ottawa-Vanier. Au cours de son mandat au conseil d’administration, elle a également travaillé au sein du comité de défense de la cause et soutenu des initiatives de collecte de fonds. Catherine a pris soin de faire le lien entre les besoins immédiats de la communauté SLA et les objectifs à long terme de la Société canadienne de la SLA pendant son mandat au conseil d’administration. Ayant été une aidante de la SLA, la perspective et les contributions de Catherine au conseil d’administration ont été inestimables.   

Josette, dirigeante stratégique possédant une expérience interfonctionnelle dans les domaines des finances et de la technologie, a contribué au conseil d’administration tout au long de son mandat de neuf ans de plusieurs façons, notamment en tant que présidente du conseil d’administration et présidente du comité des finances et de la vérification, en plus de son travail auprès des sociétés provinciales de la SLA. Josette est une dirigeante décisive et a apporté avec elle une compréhension du processus qui a aidé à guider le conseil dans plusieurs occasions de prise de décision. Elle a également participé au Ice Bucket Challenge en 2014. Se joindre au conseil d’administration de la Société canadienne de la SLA était une façon pour Josette de donner en retour; elle a dit, « J’ai appris à quel point il est important d’élaborer une stratégie d’affaires et de l’aligner sur les plans opérationnels ».  Bien qu’elle n’ait pas eu de membre de sa famille touché par la SLA, elle déclare, « J’ai toujours axé nos décisions sur la personne vivant avec la SLA et ses aidants. Ce fut une expérience enrichissante de travailler avec un organisme et un conseil d’administration professionnels ». 

Grâce à l’expérience de CPA et CA de Jim, il a aidé à guider l’organisme dans ses processus financiers, l’évaluation des risques et la planification de l’atténuation, ainsi que la budgétisation en tant que membre du comité des finances et de l’audit. Jim a rejoint le conseil d’administration en septembre 2019 et a apporté avec lui son expérience en tant que président et directeur financier de Modu-Loc Fence Rentals, LP. Il est arrivé au conseil d’administration après avoir connu des amis et des collègues de travail qui avaient été touchés par la SLA. « J’ai appris à quel point le personnel, le conseil d’administration et l’ensemble des bénévoles de la SLA sont engagés et passionnés par la notion de la SLA ne s’arrête pas, et nous non plus », dit-il. « C’était une véritable source d’inspiration, qui m’a poussé à faire toujours plus pour aider à accomplir tout ce que je pouvais pour changer la SLA ». 

Chacun de ces membres sortant du conseil d’administration a joué un rôle déterminant dans la poursuite de notre mission, en plaçant toujours la personne vivant avec la SLA au centre de notre travail. 

Merci, Norma, Catherine, Josette et Jim, pour vos contributions nombreuses et variées afin de créer un changement réel et significatif pour les personnes touchés par la SLA. 

Nous désirons accueillir chaleureusement Alyssa Barry, Ken Chan, Elizabeth Gandolfi et Dre Angela Genge, qui sont récemment devenus membres du conseil d’administration de la Société canadienne de SLA.

Nous sommes également heureux d’annoncer la nomination de Patrick Nelson au rôle de président du conseil. M. Nelson, dont la mère a été emportée par la SLA en 2014, comprend  comment cette maladie touche les familles.  Son expérience dans les domaines des relations gouvernementales et des communications fait complément à son vécu avec la maladie. M. Nelson est actuellement directeur et associé auprès de Santis Health et siège au conseil de la Société canadienne de la SLA depuis 2017.

Les membres de notre conseil bénévole comprennent les défis et complexités de la SLA, ainsi que le besoin urgent de bousculer le statu quo. Leurs conseils stratégiques et leur point de vue de gouvernance veillent à ce que l’organisation accomplisse son travail avec efficacité et responsabilité et qu’elle gère les dons judicieusement et de façons percutantes pour faire une différence dans la communauté de la SLA tout en respectant notre plan stratégique.  Merci de la généreuse contribution de votre temps et de vos talents.

Empreints d’une profonde appréciation pour leur temps et leur expertise, nous tenons à remercier Carol Cottrill, Daniel Riverso et Vincent Quinn, dont le mandat a pris fin auprès du conseil d’administration de la Société canadienne de la SLA, et Josette Melanson, qui devient présidente sortante après avoir été présidente du conseil depuis 2019.

Josette Melanson nous a offert sa gouvernance, son leadership et sa supervision à un moment important dans l’évolution de l’organisation et du paysage global de la SLA. Parmi les jalons atteints depuis qu’elle a joint les rangs du conseil en 2013, citons la mise en œuvre de l’Ice Bucket Challenge, le lancement du plan stratégique ’s 2018-23 de la Société canadienne de la SLA et l’approbation de Radicava par Santé Canada.

Merci Carol, Daniel, Vincent et Josette pour avoir si généreusement fait don de votre temps et de votre expertise attentionnée tout au long de votre mandat. Nous sommes profondément reconnaissants de votre engagement envers notre cause commune.

La Société canadienne de la SLA est heureuse d’accueillir Catherine Bélanger, Richard Ellis et Lisa Flaifel à son conseil d’administration. Regroupant des bénévoles chevronnés, notre conseil veille à la bonne gouvernance de la Société canadienne de la SLA et à l’optimisation des dons pour nous permettre d’atteindre nos objectifs caritatifs.

À l’instar de leurs homologues, les trois nouveaux membres du conseil détiennent un savoir-faire acquis au sein d’un éventail de domaines professionnels et sont animés d’une passion commune pour la cause de la SLA :

Nous sommes également heureux d’annoncer la nomination de Patrick Nelson, qui s’est joint au conseil en 2017, au rôle de vice-président de ce dernier. M. Nelson, dont la mère a été emportée par la SLA en 2014, comprend pertinemment comment cette maladie touche les familles. Pour ce rôle de leadership au sein du conseil, il met non seulement à profit son vécu personnel, mais aussi l’expertise professionnelle qu’il a acquise en matière de relations gouvernementales, de communications et de gouvernance auprès de Santis Health, cabinet-conseil en affaires publiques, où il est directeur.

Le conseil entier est guidé par les défis et les complexités de vivre avec la SLA et il adhère à une approche collaborative à l’égard de la gouvernance afin d’améliorer la vie des personnes touchées par cette maladie grâce à des programmes de soutien, à des initiatives d’intervention et à des investissements dans la recherche visant à créer un avenir sans SLA.

Nous accueillons chaleureusement Mme Bélanger, M. Ellis et Mme Flaifel et nous réjouissons à la perspective de travailler avec eux en leur qualité de membres de notre conseil d’administration.

C’est avec une grande reconnaissance que la Société canadienne de la SLA reconnaît la contribution considérable des trois membres du conseil dont le mandat a pris fin, sans pour autant que leur engagement envers la cause de la SLA s’atténue. Merci à M. Ron Foerster, à Dre Angela Genge et à M. Patrick Merz pour vos dons de leadership, de temps et d’expertise.

Dre Genge et M. Merz ont tous deux été nommés au conseil bénévole en 2014, juste avant « l’Ice Bucket Challenge » qui a créé une sensibilisation sans précédent à la cause et permis d’amasser des dons records. Quant à M. Foerster, il s’est joint au conseil en 2015 et y a siégé de 2017 à 2019.

Le leadership de ces trois personnes a été essentiel à l’affectation efficace des sommes recueillies pendant l’Ice Bucket Challenge pour que celles-ci aient le plus grand impact possible, et à l’appui de la transition de l’organisation vers une mission renouvelée reposant sur les besoins de la communauté de la SLA, en prévision du jour où les investissements effectués dans la recherche mèneront à la découverte de nouveaux traitements. Chaque personne a mis à profit ses relations personnelles et professionnelles pour appuyer la cause en s’attardant à la création d’une réalité différente pour les personnes touchées par la SLA.

Merci, M. Foerster, Dre Genge et M. Merz, pour vos nombreuses et diverses contributions, qui ont créé un changement concret et significatif pour les personnes touchées par la SLA.

les bénévoles de la Société canadienne de la SLA

Dans le cadre des célébrations de la Semaine de l’action bénévole 2019 #NVW2019, vous en avez appris davantage sur les bénévoles qui appuient le travail de la Société canadienne de la SLA de différentes façons. Vous avez pu lire sur ce qu’ils font, les raisons qui les motivent et les expériences mémorables qu’ils vivent. Qu’il s’agisse d’amasser des fonds, de sensibiliser les gens, d’appuyer des événements ou de travailler en coulisses de nombreuses autres façons, votre contribution a un impact immédiat. Grâce à vous, la voix de la communauté de la SLA est amplifiée. Grâce à vous, davantage de ressources peuvent être redirigées pour amasser des fonds. Et grâce à vous, l’espoir pour un avenir sans SLA est possible. Saviez-vous qu’en 2018, les bénévoles de la Société canadienne de la SLA ont donné environ 9 800 heures de leur temps? C’est quasiment l’équivalent de cinq postes à temps plein!

Wow, n’est-ce pas? Un grand merci à chacun de vous qui donnez de votre temps en soutien à la cause de la SLA. Nous recherchons toujours des gens passionnés dans les communautés de l’ensemble de l’Ontario qui sont prêts à partager leurs compétences ou à donner de leur temps pour faire une différence. Découvrez les différentes possibilités de vous engager auprès de la Société canadienne de la SLA.

Aaliyah Gallant-Barons, Niko Kremmydiotis et Cole Hayward

Quand une maladie comme la SLA frappe, les gens se rallient souvent autour de leurs proches et s’engagent à faire leur part. Les réalités de la maladie sont telles que chaque membre de la famille est touché, y compris les enfants et les jeunes, ce qui les inspire à poser des gestes concrets pour créer un avenir sans SLA.

La Société canadienne de la SLA est chanceuse de pouvoir compter sur des bénévoles qui contribuent à l’organisation de façons significatives, notamment en donnant de leur temps et de leurs talents pour recueillir des fonds destinés à la recherche et aux initiatives de soutien communautaires. La contribution des jeunes collecteurs de fonds dans les communautés de la province ne passe pas inaperçue. Dans le cadre de la Semaine de l’action bénévole, nous partageons les récits de trois jeunes qui recueillent des fonds pour la Société canadienne de la SLA : Aaliyah Gallant-Barons, Niko Kremmydiotis et Cole Hayward.

Aaliyah Gallant-Barons

À l’âge de dix ans, Aaliyah Gallant-Barons est l’une des plus jeunes personnes qui recueille des fonds dans le cadre de sa MARCHE pour la SLA locale, à London, en Ontario. De plus, en 2017, elle a occupé le deuxième rang au chapitre des fonds amassés pour la MARCHE pour la SLA, recueillant un peu moins de 10 000 $. Au cours des trois dernières années, elle a amassé plus de 20 000 $ pour la recherche sur la SLA et les initiatives de soutien communautaires, le tout en l’honneur de son grand-père, Ed Rossol.

« Mon grand-papa était si brave, et il a fait face à la SLA avec dignité, courage, détermination et son grand sens de l’humour », dit Aaliyah. « Je l’aimais beaucoup et il m’aimait aussi. C’était mon héros! »

Pour atteindre son objectif dans le cadre de la MARCHE pour la SLA, Aaliyah, à l’âge de sept ans, a converti la remise de jardin de son grand-père en studio d’art et vendu ses œuvres d’art pour la SLA. L’année suivante, elle a organisé une vente de bric-à-brac et composé une chanson pour une activité de récolte de fonds musicale en utilisant la guitare que son grand-père lui avait donnée. Cette année, elle prévoit réaliser une vidéo du genre « kiosque de limonade virtuel » dans l’espoir d’inciter les entreprises donatrices à appuyer ses efforts de récolte de fonds.

« Chaque soir, je pense à mon grand-papa et me dis toujours que je vais atteindre mes objectifs et trouver une cure pour la SLA afin d’aider d’autres personnes et leurs proches. Je crois qu’un jour, nous trouverons une cure. »

Pour tous ses efforts, Aaliyah a reçu un Prix Canada 150 dans la catégorie des jeunes/élèves qui ont apporté une contribution exceptionnelle à leur communauté au moyen de leurs gestes responsables, de leur leadership et de leur pensée novatrice.

« Aaliyah est une fille dévouée exceptionnelle », déclare Charlene Spector, directrice régionale pour le compte de la Société canadienne de la SLA dans les régions du Sud-Ouest et de Grey Bruce. « Son amour pour son grand-père est un des moteurs évidents de sa réussite. »

Niko Kremmydiotis

Au lieu de cadeaux de fête, Niko, âgé de huit ans, a commencé à recueillir des fonds pour la Société canadienne de la SLA en l’honneur de sa grand-mère, Yiayia Asimina. Il visait initialement à recueillir au moins 300 $ – mais en quatre mois seulement, il a amassé un peu plus de 2 100 $.

De toute évidence, l’âge n’est pas un obstacle au désir de recueillir des fonds et d’avoir un impact. En plus de réaliser sa propre version de l’« Ice Bucket Challenge » (défi du seau d’eau glacée), Niko a présenté sa mission à sa classe et à ses enseignants, et a installé un kiosque dans un centre de conditionnement physique local pour vendre les signets qu’il avait créés avec l’aide de sa mère et de son père. Ses efforts de collecte de fonds l’ont même accompagné en voyage pendant l’été, alors qu’il a apporté ses signets avec lui en vacances pour les vendre aux membres de sa famille et à ses amis.

« Cette initiative a été une excellente expérience d’apprentissage pour lui et pour nous tous », explique sa mère, Katerina. « Ses efforts de collecte de fonds pour la Société canadienne de la SLA l’ont forcé à sortir de sa zone de confort et l’ont aidé à découvrir qu’il pouvait réaliser bien plus qu’il se croyait capable. Nous sommes si fiers de lui! »

Cole Hayward

Quand Cole Hayward avait seulement deux ans, son père, Jake, a été emporté par la SLA. Malgré son jeune âge, Cole a commencé à accompagner « Team Hayward » lors de la MARCHE pour la SLA de London – c’est à partir de ce moment-là que la SLA est devenue sa cause de choix et qu’il a commencé à recueillir des fonds afin de faire une différence pour d’autres personnes vivant avec la maladie.

Il y a cinq ans, après la MARCHE pour la SLA, Cole a décidé qu’il voulait organiser sa propre activité de collecte de fonds, axée sur un de ses passe-temps préférés : la planche à roulettes. C’est ainsi que l’activité « Sk8 for ALS » (une compétition de planche à roulettes visant à recueillir des fonds pour la SLA et à sensibiliser le public à la maladie) est née à la mémoire de Jake Hayward.

À l’âge de 15 ans, Cole a recueilli un peu moins de 5 000 $ pour la Société canadienne de la SLA par l’intermédiaire de cette activité unique en son genre, qui permet de réunir de nombreux jeunes dans le but d’appuyer cette cause.

« Tous les membres de ma communauté me démontrent leur appui, mais ce sont mes amis et ma famille qui me soutiennent le plus », dit-il. « Mon conseil principal, pour d’autres jeunes collecteurs de fonds, c’est de solliciter l’appui de nombreuses personnes le plus tôt possible, surtout au chapitre des commandites et de la publicité. Déterminez votre objectif et prenez des mesures pour y arriver! »

Bien entendu, la principale motivation de Cole est la mémoire de son père. Mais, il est aussi encouragé par le désir de faire une différence pour d’autres personnes qui traversent la même épreuve que lui et sa famille. Lui et sa mère, Stephanie, sont déterminés à recueillir des fonds pour la SLA de tous les moyens possibles.

« Cette année marque le cinquième anniversaire de Sk8 for ALS », dit Stephanie. « Et nous espérons que cet événement sera encore plus populaire et couronné de succès que ses prédécesseurs. »

La Semaine de l’action bénévole a lieu du 15 au 21 avril. Chaque jour cette semaine, nous partageons le récit d’un bénévole de la Société canadienne de la SLA qui consacre son temps et ses talents à la création d’un avenir sans SLA. Familiarisez-vous davantage avec les façons de vous impliquer.

Ron Foerster, président du conseil d’administration de la Société canadienne de la SLA

En tant qu’organisme de bienfaisance, la Société canadienne de la SLA est chanceuse de pouvoir compter sur une foule de bénévoles qui consacrent leur temps et leurs talents à notre cause partagée. Chacune de ces personnes a une histoire et une expérience uniques qui l’ont incitée à se joindre à notre organisation, mais elles partagent toutes un trait en commun : le désir de contribuer à créer un avenir sans SLA.

Bien que les gens ne donnent pas généralement de leur temps dans le but d’obtenir des éloges, la Semaine de l’action bénévole représente une occasion de rendre hommage à chacune des personnes qui aide la Société canadienne de la SLA à réaliser ses travaux – que ce soit en participant au conseil d’administration ou à un comité consultatif, en planifiant et mettant en œuvre la MARCHE pour la SLA, en prenant la parole à titre d’ambassadeurs de la Société canadienne de la SLA, en veillant au bon déroulement d’une activité de bienfaisance ou en concevant de nouvelles initiatives de financement qui mobilisent la communauté.

Depuis qu’il s’est joint au conseil d’administration de la Société canadienne de la SLA, auprès de laquelle il est lui-même bénévole, Ron Foerster participe à de nombreux événements où les bénévoles jouent un rôle de premier plan – comme le Plane Pull de Bombardier et la MARCHE pour la SLA. Ayant eu l’occasion d’observer bon nombre de nos bénévoles en action, Ron, qui est président du conseil d’administration, a constaté qu’ils ont tous un trait en commun :

« À la lumière des nombreuses difficultés que doivent surmonter les personnes touchées par la SLA, je suis à la fois reconnaissant et impressionné d’une caractéristique que présentent tous les bénévoles de la Société canadienne de la SLA que j’ai observés – ils n’abandonnent jamais; ils refusent de jeter l’éponge », dit-il. « Cette ténacité engendre un véritable sentiment d’espoir – et l’espoir est un outil essentiel à la lutte contre cette terrible maladie. Je tiens donc à remercier tous les bénévoles qui ont consacré leur temps, leurs talents et leurs aptitudes à l’organisation. Merci pour tout ce que vous accomplissez. »

La propre contribution de Ron à la Société canadienne de la SLA a été motivée par son expérience personnelle avec la maladie : il a commencé à y participer après le diagnostic de sa mère.

« Quand ma mère vivait avec cette maladie, la Société canadienne de la SLA a été notre planche de salut », dit-il. « J’ai toujours ressenti la responsabilité de réciproquer. Je le fais en donnant de mon temps au sein du conseil d’administration. À mon avis, la bonne gouvernance est la pierre angulaire d’une organisation de bienfaisance efficace. Je donne donc de mon temps pour veiller à son efficacité. »

Ron est reconnaissant à chaque bénévole qui appuie l’organisation et croit que leur participation porte à espérer un avenir sans SLA.

« Comme bon nombre d’autres personnes, le désespoir était le sentiment principal que je ressentais la première fois que j’ai été exposé à la SLA », dit-il. « Aujourd’hui, l’aspect le plus enrichissant de mon rôle auprès du conseil d’administration, c’est de constater les aptitudes, le dévouement et la ténacité de toutes les personnes qui contribuent à la Société canadienne de la SLA : les clients, les aidants, les chercheurs, les cliniciens, le personnel et tous les bénévoles, du conseil d’administration aux comités de la MARCHE – œuvrant tous ensemble pour vaincre ce sentiment de désespoir. »

Quel que soit leur rôle, chacun des bénévoles de la Société canadienne de la SLA est essentiel à l’organisation. À mesure que nous prendrons des mesures pour créer un avenir sans SLA, le rôle des bénévoles changera peut-être, mais leur importance ne s’estompera jamais.

La Semaine de l’action bénévole a lieu du 15 au 21 avril. Chaque jour cette semaine, nous partageons le récit d’un bénévole de la Société canadienne de la SLA qui consacre son temps et ses talents à la création d’un avenir sans SLA. Familiarisez-vous davantage avec les façons de vous impliquer.