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L’année 2020 s’annonce comme une autre période captivante en ce qui a trait aux découvertes scientifiques dans le domaine de la SLA. L’année dernière, d’importantes percées scientifiques au Canada et ailleurs dans le monde ont mené à des progrès importants et prometteurs dans le domaine de la recherche sur la SLA. L’équipe de recherche de la Société canadienne de la SLA a relevé les principales nouvelles scientifiques qui ont fait les manchettes en 2019 et qui sont prometteuses pour l’avenir.

 

Résultats préliminaires prometteurs pour le tofersen, un traitement expérimental ciblant un sous-type de la SLA héréditaire

Le 1er mai 2019, Biogen a présenté les résultats provisoires de son étude de phase 1/2 sur le tofersen (aussi appelé BIIB067), un oligonucléotide antisens (OAS) à l’étude dans le traitement d’une forme héréditaire de SLA associée à des mutations du gène SOD1. Le tofersen a été conçu pour se lier à l’ARNm de SOD1 (le plan utilisé pour produire la protéine SOD1 dans les cellules) et ainsi bloquer la production de cette protéine toxique. Le tofersen est administré directement dans le liquide céphalorachidien par injection appelée intrathécale.

Les données préliminaires tirées de l’étude de phase 1/2 ont montré que le tofersen est sécuritaire et peut permettre de réduire le taux de protéine SOD1 toxique qui se trouve dans le système nerveux central. Chez les participants ayant reçu le tofersen, une tendance au ralentissement de l’évolution de la maladie, mesurée à l’aide de l’échelle ALSFRS-R, a été observée.

Les résultats positifs obtenus dans le cadre de l’étude de phase 1/2 antérieure ont validé la décision de Biogen de procéder à une étude de phase 3 sur le tofersen afin d’en confirmer l’innocuité et l’efficacité. Le recrutement de participants pour l’étude internationale de phase 3 est présentement en cours à deux centres au Canada, soit l’Institut neurologique de Montréal et le Sunnybrook Health Sciences Centre.

 

Résultats de l’étude de phase 2 sur NurOwn et recrutement de tous les participants pour l’étude de phase 3

Une étude de phase 3 visant à confirmer l’innocuité et l’efficacité de NurOwn au sein d’une population élargie est actuellement en cours. Au mois d’octobre dernier, BrainStorm Cell Therapeutics a annoncé que les 200 patients pour cet essai clinique avaient été recrutés et la société s’attend à ce que tous les participants aient terminé les visites et les évaluations prévues dans le cadre de l’étude d’ici à octobre 2020.

Les résultats de l’étude de phase 2 évaluant NurOwn dans le traitement de la SLA ont été publiés dans la revue à comité de lecture Neurology. Cette étude comptait 48 participants : 36 d’entre eux ont été traités à l’aide d’une dose unique de NurOwn, alors que les 12 autres ont reçu un placébo. Les résultats ont montré que le traitement par NurOwn était sécuritaire et bien toléré par les participants. Dans l’ensemble, le taux d’évolution de la maladie, mesuré à l’aide de l’échelle ALSFRS-R, chez les participants traités à NurOwn était semblable à celui des participants ayant reçu le placébo. Cependant, les résultats sont plus prometteurs pour un sous-ensemble de participants présentant une évolution plus rapide de la maladie, ce qui laisse supposer que NurOwn pourrait avoir un effet positif sur l’évolution de la maladie.

 

Une méthode révolutionnaire de réalisation d’un essai clinique pour les traitements de la SLA sera mise en œuvre au début de 2020

En septembre 2019, le Sean M. Healey & AMG Center for ALS du Massachusetts General Hospital a annoncé la mise en œuvre du tout premier essai clinique en plateforme sur la SLA. Des chercheurs du monde entier adoptent cette méthode novatrice pour les essais cliniques sur la SLA. L’essai en plateforme est un essai clinique où plusieurs traitements sont testés et évalués en même temps. Le modèle par plateforme vise à trouver des traitements bénéfiques à l’aide de moins de patients, en moins de temps et avec une plus grande probabilité de succès. Un autre avantage important de ce modèle est que les groupes témoins pour chaque traitement testé peuvent être partagés, ce qui signifie que les participants auront une probabilité accrue de recevoir un médicament actif plutôt qu’un placébo.

L’essai du Sean M. Healey & AMG Center, qui sera mené dans 54 centres aux États-Unis, évaluera cinq traitements prometteurs au début de l’essai. De plus, le groupe TRICALS, qui est le plus grand projet européen consacré à la découverte d’un remède contre la SLA, se prépare à lancer un essai en plateforme dans plusieurs centres pour tester au départ au moins trois nouveaux traitements. Les chercheurs sont très enthousiastes à l’égard de cette nouvelle méthode puisqu’ils croient qu’elle permettra d’accélérer les progrès dans le domaine de la SLA à l’échelle mondiale pour atteindre le but commun de trouver un traitement pour la SLA.

 

La Société canadienne de la SLA attribue près de 1,4 million de dollars pour 16 nouveaux projets de recherche

Au mois de novembre 2019, à la suite d’une analyse scientifique minutieuse réalisée par un comité de spécialistes internationaux de la SLA, la Société canadienne de la SLA a annoncé l’investissement d’une somme de près de 1,4 million de dollars dans des projets de recherche de pointe sur la SLA qui permettront d’approfondir l’étude de cette maladie. Plus de 850 000 $ sont investis dans dix subventions par titre et 540 000 $ sont investis dans six bourses de stagiaire qui donneront un élan à la prochaine génération de chercheurs prometteurs sur la SLA.

Les partenaires de financement des bourses et des subventions 2019 offertes par le programme de recherche de la Société canadienne de la SLA sont les Sociétés canadiennes de la SLA, Orangetheory Fitnessla Fondation Vincent Bourque et la Fondation Brain Canada (avec le soutien financier de Santé Canada). L’investissement continu dans la recherche soutient les découvertes scientifiques qui nourrissent l’espoir d’un avenir sans SLA. Cliquez ici pour en savoir plus sur ces nouveaux projets prometteurs et lisez notre blogue tout au long de l’année pour connaître les détails de chaque projet subventionné.

 

Des chercheurs canadiens mettent au point une nouvelle méthode pour administrer les futurs traitements contre la SLA directement dans le cerveau

Une des caractéristiques les plus importantes de tout nouveau traitement contre la SLA est sa capacité à se rendre aux endroits qui en ont le plus besoin, soit le cerveau et la moelle épinière. Dans le cas des traitements par voie orale ou intraveineuse (i.v.) (c.-à-d. qui sont injectés directement dans la circulation sanguine), cela signifie qu’ils doivent être capables de traverser la barrière hématoencéphalique, une barrière spécialisée qui protège le système nerveux central contre les substances présentes dans le sang. Afin de contourner cette difficulté, une équipe de chercheurs du Sunnybrook Health Sciences Centre de Toronto ont mis au point une méthode innovatrice pour s’assurer que les futurs traitements contre la SLA puissent être administrés directement dans le cerveau.

En utilisant l’échographie focalisée guidée par résonance magnétique (MRgFUS), ces chercheurs ont montré qu’ils pouvaient ouvrir, de façon temporaire et sécuritaire, de petits espaces dans la barrière hématoencéphalique qui permettraient à des traitements potentiels de se rendre jusqu’au cerveau. Les résultats du premier essai clinique de phase 1 réalisé sur des humains, financé en partie par la Société canadienne de la SLA, ont été publiés dans la revue à comité de lecture Nature Communications. Après 60 jours, les quatre participants ayant subi l’intervention ne présentaient aucun événement indésirable important. Cela signifie que l’utilisation de la MRgFUS devrait permettre l’administration sécuritaire de traitements directement dans le cerveau de personnes atteintes de SLA, qui constituera, selon ce qu’ont indiqué les chercheurs dans un communiqué de presse, la prochaine phase de l’étude.

 

Lancement d’une étude internationale de phase 3 pour tester une nouvelle préparation orale d’édaravone

Au mois de novembre 2019, la société Mitsubishi Tanabe Pharma America a annoncé le lancement d’une étude internationale de phase 3 visant à tester l’innocuité et l’efficacité d’une nouvelle préparation orale d’édaravone appelée MT-1186. Pour cette étude de phase 3, 150 personnes souffrant de SLA seront recrutées dans environ 65 centres situés aux États-Unis, au Canada, en Europe et au Japon. Tous les participants recevront le médicament actif; il n’y aura donc pas de groupe recevant un placébo. On espère que si cette préparation orale d’édaravone s’avère sécuritaire et qu’elle se rend au cerveau et à la moelle épinière aussi efficacement que la préparation i.v. actuelle, les résultats de cet essai seront suffisants pour que l’homologation soit accordée.

À l’heure actuelle, le Radicava est uniquement administré par perfusion intraveineuse (i.v.) directement dans la circulation sanguine. Étant donné le schéma posologique relativement intensif recommandé pour le Radicava, une option de traitement comme le MT-1186 qui peut être pris par voie orale pourrait améliorer considérablement la qualité de vie des gens atteints de SLA.
En octobre 2018, Santé Canada a approuvé le Radicava (édaravone) pour traiter la SLA. Pourtant, plus d’un an plus tard, ce médicament n’est toujours pas admissible au remboursement par le régime public pour les patients canadiens souffrant de SLA. En l’absence d’un échéancier défini ou de transparence dans le processus de remboursement par le régime public, des efforts de sensibilisation ont été entrepris auprès des gouvernements provinciaux afin de faire connaître le besoin urgent non satisfait de la communauté de la SLA d’avoir accès à ce traitement.

Cliquez ici pour savoir comment apporter votre soutien aux efforts de sensibilisation envers un accès équitable, rapide et abordable à des traitements éprouvés contre la SLA en plaidant sans tarder pour le remboursement de Radicava auprès du ou de la ministre responsable de la santé de votre province.

 

Des chercheurs découvrent de nouveaux modificateurs génétiques de la SLA liée à C9ORF72

Des chercheurs ont découvert trois nouveaux gènes qui pourraient influencer l’évolution de la SLA liée à C9ORF72. Les mutations de C9ORF72 représentent la cause génétique la plus courante de la SLA et de la démence frontotemporale (DFT). Le gène C9ORF72 contient normalement un court segment d’ADN qui, chez certaines personnes atteintes de SLA, est muté et considérablement allongé. Deux substances, communément appelées foyers d’ARN et répétitions dipeptidiques, sont produites dans les cellules à la suite de ces mutations. On pense que ces substances contribuent à la toxicité cellulaire qui engendre la maladie.

Des chercheurs ont travaillé avec acharnement pour mieux comprendre comment arriver à réguler la production de ces substances toxiques et ainsi accroître la survie des motoneurones. À l’aide de techniques de laboratoire modernes, des chercheurs ont procédé, dans le cadre de trois études distinctes, à des criblages génétiques sur divers modèles de SLA, comme des cellules de levure, des mouches à fruit et des motoneurones dérivés de cellules souches provenant de patients atteints de SLA, à la recherche de gènes qui pourraient être capables d’influencer la production des ARN répétitifs et des protéines à répétitions dipeptidiques toxiques. Trois gènes différents ont été identifiés : AFF2/FMR2DDX3X et RPS25. Ensemble, ces études permettent de mieux comprendre comment ces substances toxiques sont produites dans les cellules et donnent aux chercheurs des pistes sur la façon d’élaborer de nouvelles options thérapeutiques pour entraver ce processus dans les cas de SLA liée à C9ORF72.

 

Percées importantes dans la compréhension clinique et la prise en charge de la SLA

En plus des progrès réalisés en recherche fondamentale et dans le cadre d’essais cliniques, des chercheurs étudient des façons d’améliorer la qualité de vie des personnes atteintes de SLA. Une étude publiée dans la revue Neurology a analysé les services de santé auxquels ont eu recours les personnes atteintes de SLA au cours de la dernière année de leur vie. Les chercheurs ont observé qu’une visite à domicile effectuée par un médecin de soins palliatifs était associée à de meilleures issues de fin de vie, mais que la plupart des personnes atteintes de SLA n’avaient pas recours à ce service. Les soins palliatifs constituent un domaine de la médecine visant à améliorer la qualité de vie des patients et de leur famille qui doivent composer avec les problèmes liés à une affection mettant en danger la vie du malade. Dre Jocelyn Zwicker et Dre Christine Watt de l’Hôpital d’Ottawa élargiront ces travaux, subventionnés entièrement par le Programme de recherche de la Société canadienne de la SLA, en menant une étude pour mieux comprendre les bienfaits de la prestation précoce de soins palliatifs dans les cas de SLA. En déterminant les besoins individuels des patients en matière de soins palliatifs et l’effet de la prestation précoce de ces soins, les chercheuses espèrent avoir une influence positive sur la qualité de vie des personnes atteintes de SLA et de leurs proches aidants.

Des chercheurs ont également réalisé des progrès importants en 2019 pour améliorer la compréhension clinique de la SLA. Dre Yana Yunusova du Sunnybrook Research Institute de Toronto a participé à de nombreuses études montrant comment les changements de l’élocution pouvaient être utilisés pour détecter la dégénérescence neuromotrice dans la SLA et en faire le suivi. Dre Yunusova poursuivra ces travaux, qui sont aussi subventionnés par le Programme de recherche de la Société canadienne de la SLA, en dirigeant une équipe de chercheurs qui utilisera l’apprentissage automatique pour former un modèle d’intelligence artificielle (IA) à l’aide d’enregistrements vocaux de personnes atteintes de SLA. L’objectif est de créer un outil capable de déceler les caractéristiques acoustiques subtiles de la perte des motoneurones supérieurs et inférieurs dans les cas de SLA. Les chercheurs espèrent que ce nouvel outil offrira un moyen plus rapide et plus précis de diagnostiquer les personnes atteintes de SLA à l’aide des méthodes existantes et leur permettra d’avoir accès plus rapidement à des essais cliniques ou à des traitements éprouvés à l’avenir.

 

Liens importants établis dans la compréhension de la SLA

Chaque nouvelle percée en recherche sur la SLA fournit un nouveau morceau du casse-tête que représente la compréhension de cette maladie. En 2019, de nouveaux liens ont été établis entre des voies cellulaires qui semblent jouer un rôle dans la SLA, comme le transport cellulaire (mécanisme par lequel des substances sont transportées d’une région de la cellule à une autre) et la biologie de l’ARN.

L’ARN contient l’information génétique permettant aux cellules de fabriquer des protéines. La production de protéines étant nécessaire dans toutes les parties de la cellule, l’ARN doit parcourir de longues distances, pouvant parfois atteindre jusqu’à un mètre, dans les motoneurones pour atteindre l’endroit où il est requis. La façon dont l’ARN est transporté dans ces régions lointaines est toutefois mal comprise à l’heure actuelle. Dans le cadre d’une étude publiée dans la revue Cell, une équipe de chercheurs a constaté que la protéine ANXA11 liée à la SLA peut jouer un rôle important dans la fixation de l’ARN aux structures qui peuvent le transporter vers des sites distants dans le motoneurone. Les chercheurs décrivent que l’ARN « s’accroche » à d’autres structures en mouvement dans la cellule. On pense que les mutations de la protéine ANXA11 liées à la SLA altèrent sa capacité à lier l’ARN à ces structures en mouvement. Financée en partie par une bourse d’équipe translationnelle Arthur J. Hudson de la Société canadienne de la SLA et de la Fondation Brain Canada, cette étude établit un lien entre deux fonctions cellulaires essentielles qui peuvent être perturbées chez les personnes atteintes de SLA.

Dans une étude distincte publiée dans la revue Nature Communications, des chercheurs ont découvert que des mutations du gène PFN1 peuvent perturber un autre processus de transport cellulaire, appelé transport nucléocytoplasmique. Ce type de transport, essentiel à la survie cellulaire, permet de transporter des substances entre deux importants compartiments de la cellule, soit le noyau et le cytoplasme. La nouvelle fonction découverte permet de lier PFN1 à C9ORF72, dont le rôle dans le transport nucléocytoplasmique avait précédemment été constaté, et de mieux comprendre les voies cellulaires qui jouent un rôle dans la pathogenèse. Les chercheurs ont réussi à identifier une cible cellulaire qu’ils espèrent pouvoir modifier pour aider à rétablir le fonctionnement normal du transport nucléocytoplasmique. Ces études ne sont que deux exemples des nombreuses études permettant de faire un lien entre différentes voies cellulaires importantes dans la biologie de la SLA et améliorent grandement la capacité des chercheurs à découvrir de nouvelles cibles thérapeutiques.

 

Des chercheurs canadiens contribuent de façon marquée à améliorer la compréhension de la biologie de la SLA

En 2019, des chercheurs canadiens ont contribué grandement à améliorer la compréhension globale de la SLA. Dre Sali Farhan, une scientifique canadienne travaillant au Broad Institute du MIT et de l’Université Harvard à Boston, a mené une étude de séquençage de gènes qui a permis de découvrir une nouvelle cause génétique de la SLA.

Dre Janice Robertson, du Tanz Centre for Research in Neurodegenerative Diseases de l’Université de Toronto, a découvert une fonction importante de C9ORF72 à la synapse des motoneurones, l’endroit où le signal électrique est transmis d’un neurone à un autre ou à une cellule musculaire. Cela pourrait permettre d’expliquer certains des dysfonctionnements observés aux synapses dans la SLA.

DTurgay Akay, du Brain Repair Center de l’Université Dalhousie, a découvert un processus de compensation naturellement à l’œuvre dans le corps pour aider à maintenir un mouvement normal lorsqu’une personne perd des motoneurones. L’amélioration de ce processus pourrait représenter une nouvelle avenue prometteuse à explorer dans la recherche d’options thérapeutiques.

Dre Kathryn Volkening et Dr Michael Strong, de l’Université Western, ont obtenu des données expérimentales montrant que lorsque deux protéines liées à la SLA sont présentes dans les cellules, elles peuvent collaborer pour exacerber la maladie davantage que ce que chacune de ces protéines pourrait faire par elle-même. Cette découverte pourrait permettre d’expliquer en partie l’hétérogénéité observée dans la SLA (c.-à-d. pourquoi une personne atteinte de la maladie peut vivre 2 ans alors qu’une autre peut vivre 20 ans).

Dr Neil Cashman, de l’Université de la Colombie-Britannique, a mené une étude qui a jeté de la lumière sur la façon dont une forme héréditaire de SLA, liée à des mutations du gène SOD1, pourrait se propager à l’ensemble du corps, offrant aux chercheurs une nouvelle cible thérapeutique à envisager dans la mise au point de traitements.

Les études précédentes ne sont que quelques exemples des travaux de recherche novateurs réalisés dans le domaine de la SLA partout au Canada. En tant que seule source de financement dédiée à la recherche sur la SLA au Canada, le programme de recherche de la Société canadienne de la SLA vise à accélérer l’impact de la recherche en fournissant un financement aux projets les plus prometteurs sur la SLA qui se concentrent à traduire les découvertes scientifiques en traitements contre la SLA.

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